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Jeux de rôle basé sur une histoire de zombies
 
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 LA GRANDE AVENTURE

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Suzie Baby
Raphaël Dumas
John Zebrowski
Dieu
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Dieu
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MessageSujet: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeLun 19 Mai 2008 - 18:05

LE 1 MAI 2008, LA TERRE EST ENVAHIE PAR LES MORTS-VIVANTS ... SAUREZ VOUS SURVIVRE DANS UN MONDE OU LES MORTS DOMINENT LA TERRE ?


Dernière édition par Dieu le Jeu 29 Mai 2008 - 0:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeLun 26 Mai 2008 - 17:22

Le monde, celui que tout le monde connaissait, ne serait plus jamais comme avant. Les morts dominent maintenant la Terre.

Tout cela a commencé vers le mois de janvier 2008. C'est à ce moment que, principalement dans la ville de New York (États-Unis), différents événements commencèrent à se produire. Tout d'abord, un bateau s'échoue dans le port de Manhattan et on ne retrouve aucun survivant. Les membres de l'équipage semblent s'être fait dévorer. Puis, une vague de disparitions, une vague de meurtres, etc. Les gens commencent à trouver que quelque chose ne tourne pas rond lorsque l'épidémie commence. Au début de mois de février, un virus inconnu frappe la ville de New York. Ses symptômes : très proche de la rage, le virus rend les gens fous et très violents. Aucun remède ou vaccin ne semblent efficaces. De plus, le virus est très contagieux, il se transmet par contact sanguin, aussi infime soit-il, sans compter qu'il se transmet par voie aérienne sous sa forme pure. À New York, des gens commencent à se faire attaquer par les « contaminés ». C'est alors que commencent les émeutes. La plus grande ville du plus puissant pays du monde est devenue apocalyptique. Afin d'éviter que le virus ne se répande et que la situation ne s'aggrave, en plus de l'intervention de l'armée déjà sur les lieux, le gouvernement décide, le 1er mars, de faire sauter tous les ponts menant à l'extérieur de la ville. Malheureusement, il est déjà trop tard. Aussitôt les ponts détruits, on apprend que le virus a commencé à apparaître dans la plupart des grande villes du monde. Paris, Londres, Tokyo, Sydney, L.A., Seattle, Vancouver, Toronto, etc.

Mi-avril 2008. L'épidémie est maintenant planétaire. Le virus s'est répandu partout sur le globe. Bien que certaines institutions et un semblant de gouvernement, sont toujours actifs, dans une semaine ils seront disparus. Ce sera le chaos total. Les morts règneront sur la Terre. Mais entre temps, les médias... enfin... les médias qui émettent toujours tentent de fournir le plus de renseignements possibles.

Outre le fait que le virus est extrêmement contagieux et qu'il rend les gens violent et dangereux, le virus attaque directement le cerveau. Ainsi, la personne atteinte par ce virus se comportera tout à fait normalement jusqu'à sa mort (qui peut survenir dans un laps de temps pouvant varier). Une fois morte, la personne se réveillera et cherchera à tuer. Effectivement, une fois la victime morte, le virus fourni de l'énergie pour faire fonctionner le cerveau, mais seulement la partie violente et la partie de l'instinct, c'est-à-dire qui contrôle la faim. Ces deux éléments combinés font que la victime revenue des morts ne cherchera qu'une chose, se nourrir de tout être humain à portée de bouche. Cette réaction est due, selon certains scientifiques, à la reproduction du virus. Pour se transmettre, le virus doit garder l'être humain vivant et le rendre agressif envers ses semblables. Pour le garder en vie, elle doit produire de l'énergie et pour produire de l'énergie elle a besoin de chair fraîche. Puisque que le virus ne se transmet principalement qu'aux humains, les « morts-vivants » ne s'attaquent qu'aux humains. Du même fait, le seul moyen de tuer un zombie*, c’est d'affecter le cerveau, où il se loge et où il contrôle l'hôte. Chocs violents, plaies ouvertes, chocs électriques, brûlures à la tête ainsi que certains poisons rares sont de bons moyens de vous défendre contre ces monstres.

* Le virus a été nommé VZ001 (Virus Zombie 001) et les hôtes, «zombies», du fait qu’ils ont certaines caractéristiques apparentées aux zombies de fiction. En effet, en attaquant le cerveau le virus endommage généralement les capacités motrices du corps ce qui les rend lents et empotés. Il affecte aussi la mémoire et toute capacité de penser avec logique. De plus, avec l'arrêt de la plupart des fonctions du corps, les zombies continuent à se décomposer, la capacité du corps à se régénérer étant atteinte par le virus.


Nous sommes maintenant le 1er Mai, une semaine après que la plupart des chaînes aient cessé d'émettre. La dernière chaîne encore active a arrêté ses émissions depuis deux jours et demi. Certains sites Internet fonctionnent toujours, quelques stations radio à ondes courtes aussi, mais celles-ci sont très rares. De plus en plus rares. La planète Terre est dominée par les morts et les humains qui restent doivent tenter de s'en sortir. Mais comment feront-ils ?

La ville de St-John's,* sur la rive nord de Montréal ne fait pas exception. Cette petite municipalité d'à peine 20 000 habitants semble aussi morte que toutes les autres. Mais l'est-elle vraiment ? Il semble y avoir de la vie dans un petit centre d'achat du bord de la ville. Comment des gens se sont retrouvés là? À vous de nous le dire.

* Voir description dans « LES LIEUX »
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John Zebrowski
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 28 Mai 2008 - 0:42

John Zebrowski était étendu sur son divan, sa barbe brun-roux, négligée depuis quelques semaines, les cheveux, brun-noir, un peu trop long, les yeux encore rougies par l’alcool. Pourtant, son esprit était plus vif qu’il ne l’avait été depuis longtemps. Il avait une idée derrière la tête, il s’était décidé à agir. Cela faisait plus d’une semaine que sa vie se résumait à resté planté devant les infos, manger, dormir et pisser. Plus d’une semaine qu’il n’était pas sorti à l’extérieur, plus d’une semaine qu’il s’accrochait au son de la voix de la présentatrice du bulletin de nouvelles. Et puis, plus rien. Plus qu’un son aigu et continu présentant la même image, les mêmes mots : « Les studios de RDN ont du être évacués d’urgence. Nous vous remercions de nous avoir écouté pendant toutes ces années.», preuve de la gravitée de la situation, preuve que plus rien de sera comme avant. John, pendant la journée d’hier au complet, était resté là, immobile, à fixé ces mêmes mots si simples et si tragiques, puis, il avait prit la cuite de sa vie, jusqu’à en tombé par terre et jusqu’à se pisser dessus. Aujourd’hui, il était résolu : il fallait qu’il fasse quelque chose, il fallait qu’il sorte de chez lui. De toute façon, il allait bientôt manquer de vivres. Il jeta un coup d’œil sur l’horloge au dessus du téléviseur. 7 :03. Il grogna un : « Eh, merde. Quand il faut y aller, il faut y aller.» et il se leva pour aller se regarder dans le miroir de la chambre de bain. Il avait de forte chance de mourir aujourd’hui. En fait, il risquait fortement de ne pas survivre jusqu’au lendemain, et il en était conscient. Et tant qu’à partir, autant ne pas le faire dans un pantalon souillé par son urine. Il alla donc prendre une longue douche froide, vivifiante, tout en songeant que c’était peut-être la dernière qu’il prenait. L’eau courante fonctionnait toujours, mais Dieu seul sait pour encore combien de temps. Puis, il enfila un jean, un t-shirt noir, sans oublier de prendre sa veste de kevlar dans son garde-robe pour l’enfiler par-dessus. Il se brossa les dents, couva sa tête d’une casquette à l’effigie de la police, la palette à l’envers. Ensuite, il prit sn vieux sac de sport du temps où il s’entrainait toujours et il entreprit de le fourrer de tout ce qui pourrait s’avérer nécessaires pour son expédition ou qui pourrait servir d’armes. Boite de craquelin, sac de chip, boites de thon, couteaux de cuisine, canif, marteau, etc. Il n’oublia pas de prendre son précieux Colt Python, qui ne le quittait jamais, et il s’assura que l’étui était bien attaché à sa ceinture. Finalement, il attrapa le bâton de baseball qu’il avait installé à côté de la porte d’entrée «au cas où». Il se dirigea vers la porte, mais, se ravisa. Il prit sa fiole, qu’il avait presque oublié, la remplie de Jack Daniel’s, puis, enfin, il se dirigea vers la porte … avant de rebrousser chemin à nouveau, prendre la bouteille de Jack au complet et la fourrée dans son sac. Debout, devant la porte, il se considéra. Il était peut-être costaud, armé d’une batte, d’un revolver dont il se pouvait se servir avec talent, et d’une veste de kevlar, cela n'empêchait pas que si une foule de ces êtes se dirigeant vers lui, il ne pourrait jamais s'en sortit. Surtout qu’i l boitait autant de la jambe gauche depuis l’accident. De plus, la seule raison pourquoi ces choses n’étaient pas entrés chez lui, c’était qu’il s’était enfermé à double tour, barricadé et qu’il avait bouché toute les fenêtres et ce, au tout début de la crise. Donc, pas question de revenir en arrière, car si ils s’avaient qu’il était caché la dedans, même barricadée sa maison ne tiendrait pas le coup contre une foule de ces monstres. Maintenant, il ne restait plus qu’à ouvrir la porte et espérer que le chemin soit libre jusqu’à sa voiture, une Roadmaster Station Vagon `91 bleu. Ce qu’il fit.

La lumière vive de soleil qui se levait l’aveugla quelques instants, avant de retrouver la vision pour s’apercevoir que quelqu’un ou plutôt quelque chose s’était retourné et se dirigeait maintenant droit sur lui. C’était un de ces maudis contaminés, un de ces zombies, et ce qu’il voulait, c’était manger. Et dans ce cas ci, son encas, c’était John. John prit donc appuie sur sa jambe droite, celle qui ne le faisait pas souffrir, donna un élan et, quand le zombie fut assez proche pour qu’il sente son odeur infecte, il balança de toute ses force la batte de baseball qu’il tenait maintenant à deux mains. Quand le bâton atteignit la tête, on entendit un grand craquement et la mâchoire de ce qui était autrefois un être humain se détacha du reste du corps, avant que celui-ci se retrouve par terre, inerte. John continua alors jusqu’à sa voiture dans laquelle il s’enferma avant de reprendre enfin son souffle. Il regarda autour de lui et s’aperçu que le zombie le plus près se trouvait au bout de la rue. Il se permit donc de prendre une gorgée à même sa fiole, avant de démarrer en trombe. Il avait une bonne idée de l'endroit où il essayait de se rendre … du moins, pour commencer.

Bien que la route jusqu’au petit «centre d’achat de la pourvoirie» fut courte et qu’il ne rencontra pas de zombies, John était plus nerveux que jamais. C’est la première fois, malgré sa carrière de policier, qu’il mettait sa vie en jeu à ce point. Le danger pouvait souvenir de partout, n’importe où, n’importe quand. Lorsqu’il vit enfin l’enseigne de l’établissement, il se décrispa un peu et remercia de ciel que le chemin de chez lui jusqu’au «centre d’achat de la pourvoirie» ne dure que 7 minutes. Il observa que le stationnement est vide, excepté quelques zombies, une dizaine, dispersé un peu partout. Il en profita donc pour se garer le plus près possible d’une des deux portes d’entrée. Il sortit de sa voiture en verrouillant les portes (réflexe maintenant tellement vain) et se dirigea vers le trou béant qui remplace la vitrine d’une des portes. À l’intérieur, c’était la pénombre. Il se dirigea avec précaution à travers l’allée centrale vers un endroit bien précis : Le magasin de chasse et pêche de l’oncle Fernand. En observant attentivement, il remarqua de la lumière venant de magasin. Il avança encore quelques pas quand tout-à-coup une détonation résonna. Le projectile atteignit le plancher a quelque centimètre je John. Il eu à peine le temps de se jeter par terre qu’une autre slave se dirigeait dans sa direction. Une voix s’éleva soudain du magasin : « Sortez de chez moi, crissez votre camp démon.
-Fers, c’est moi, Johnny
-John … merde, mais qu’est-ce que tu fais là.
-Ben, en fait, je venais piller ton magasin»
Un homme en chaise roulante, les cheveux blanc, le visage portant les signes de l’âge, sortit du magasin, se découvrant à John. Ils échangèrent quelques mots avant d’entrer dans le magasin. L’homme expliqua qu’il s’était enfermé ici quand la crise avait commencée. C’est ici qu’il se sentait le plus en sécurité. À l’arrière du magasin se trouvait une cuisinette fait de matériel de camping et, avec les armes qui se trouvaient là, il pensait bien tenir un bout, jusqu’à l’arrivée des secours peut-être. Un seul zombie était parvenu a entré jusqu’à maintenant (ce qui expliquait la vitre brisée) et il avait réussi à l’abattre. John décida donc, pendant que Fern reprenait son poste, de faire le tour de la boutique. Le matériel qui s’y trouvait pourrait être utile. Au fond, c’était pour ca qu’il était venu. Et puis, il n’avait rien d’autre à faire en attendant de trouver un plan ou que quelque choses arrive.

Désolé pour la longueur du tetxe , j'ai pas pu m'en empêcher.
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Raphaël Dumas
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Raphaël Dumas


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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 28 Mai 2008 - 9:32

Plusieurs semaines plus tôt, au début de la crise

Des morts semblent marcher et attaquer les gens. Nous avons vu aujourd'hui de quoi révolutionner tout ce que la science, et Dieu, ont fait jusqu'à maintenant...

-Conneries. Cotes d'écoutes de merde...

*Raphaël arrêta la télévision avant d'aller s'habiller. Il ne comprenait pas pourquoi tant de gens s'excitaient devant la nouvelle de dernière minute. Rien d'impressionnant. Il jeta un coup d'oeil au miroir.*

-C'est l'heure de briser des coeurs, mon beau.

*Il quitta son appartement et se rendit jusqu'à son automobile. En mettant la clé dans le contact, il regarda attentivement autour de lui pour s'assurer que personne ne le verrait partir, précaution qu'il prenait depuis des années. Lorsqu'il fut loin de chez lui, il sortit une pancarte de taxi qu'il posa sans intérêt sur le toit de son auto à travers la fenête à demie ouverte. Il ne voulait pas que les gens de son voisinage sachent qu'il était chauffeur de taxi. En fait, il voulait qu'ils ne sachent rien du tout sur lui. Il s'arrêta devant un homme qui lui faisait signe. Il le fit entrer sur la banquette arrière, derrière la vitre blindée.*

-Où est-ce qu'on va, m'sieur?
-N'im... N'importe où pour l'instant.
-Ma destination favorite, on est parti! Vous allez bien, m'sieur?
-C'est rien... Mon voisin m'a... Il m'a mordu...
-Vraiment?
-Oui, je n'avais rien à dire contre lui jusqu'à maintenant, mais là...
-Et où est-ce que vous voulez aller comme ça? À l'hôpital?
-Oh, franchement! Des trucs pour que j'attrape quelque chose. Non, roule tout droit pour 30 dollards et je m'arrêterai là-bas. Pis ferme-la, j'ai besoin de réfléchir.

*Le trajet se passa normallement pour les 20 premiers dollards. Après, Raphaël remarqua dans son rétroviseur que l'homme le regardait avidement. Le ton pâle, il ouvrit la bouche dans un râle silencieux pour dévoiler des dents ensanglantées. Ses yeux prirent une tournure rouge et il fonça violement pour attaquer le conducteur, qui fut sauvé par la vitre par-balle. Raphaël continua de rouler et alluma la radio. Lorsqu'il arriva à 30 dollards, l'homme derrière lui avait eu le temps de frapper des centaines de fois à la vitre en grognant.*

-On est arrivé, m'sieur.

*Il se pencha sous le siège et y attrappa un morceau de tuyau de métal étrangement massif. Il sortit de l'automobile, ouvrit la porte de loin et lorsque l'homme se précipita sur lui, un bon coup de tuyau l'arrêta net dans sa course. Raphaël se pencha, fouilla son portefeuille, y prit les 45 dollards qui s'y trouvaient et lança le portefeuille sur le corps inanimé.*

-Merci pour le tip, salut là. *Dans l'auto* Bâtard, on dirait que c'était pas juste des conneries depuis une semaine à la télé.

Aujourd'hui

*Un crissement de pneu sonore se fit entendre dans les rues de la ville, en même temps qu'une musique techno envahissante. Un taxi étrange surgit d'une intersection et écrasa deux zombies qui marchaient vers lui, sous le rire sonore du conducteur. Soudain, la musique et les vrombissements s'arrêtèrent. Le taxi roula encore pendant quelques rues, laissant le temps à Raphaël le temps de voir s'il n'était pas suivi. Il ralentit finalement et alla se placer près des pompes à essence du magasin de la pourvoirie. Il le laissa là et sortit faire le plein. C'est en allant déposer de l'argent sur la caisse laissée vide qu'il entendit un coup de feu et des cris provenant du magasin. Il sortit de son holster un tout petit neuf milimètre et s'approcha lentement de la direction du coup de feu. Il vit un homme boiteux et un handicappé se serrer la main.*

-Hey! Du monde! Ah ben bâtard! Salut, ça va?
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Suzie Baby
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 28 Mai 2008 - 10:27

Baby courrait à en perdre halène. Elle était recouverte de sang. François, le gars de la station de radio, avait dégouliné sur son genou, Josianne, l'amie d'Hervé avait été décapitée et l'avait éclaboussé dans le dos, même la grosse dame de la coop avait contribué : son sang commencait à sècher par contre. Il y avait aussi le petit bichon qu'ils avaient croisé sur la rue principale... ça ça avait été plutôt drôle! Hervé courrait devant elle, beaucoup plus vite, pour une fois :
- Attend moi donc Vévééééé, attend moi, j'peux pas courire vite moi!
En d'autres temps elle l'aurait rapidement dépassé, mais elle avait cassé un de ses talon, ce qui la ralentissait considérablement.

...clic clop clic clop clic clop...

- Hahaha! envouèye Baby, au foot locker tu piqueras des runing shoes... c'était pas bin bin brillant de mettre ces souliers-là!

- penses-tu que j'm'en rend pas compte? raahh... Vèv'... VÈV!!! Arrête-toi!

Hervé s'arrète et attend que Suzie l'aie rejoint pour dire en souriant :
- Pour une fois que c'est moi qui avait de l'avence...
- t'es pas drôle.
- souris.
- non.
- souriiis!
- non là!
- souris ou j'fais le bossus de notre dame.
- ... jamais!

Hervé se penche et se plie, il se courbe le dos et se déforme le visage. Il se met à grogner et à boiter autour de son amie... qui fini par rire de bon coeur. Ils font beaucoup de bruit, mais qui cela pourrait-il déranger? De toute façons, il n'y a pas âme qui vive dans le stationnement du mini-centre d'achats. Ils sortent des répliques cliché et ne voient pas Francine, du footlocker, qui s'approche par derrière en trainant de la patte. Soudain Hervé se fige et une main lourde et froide s'abbat sur l'épaule de Baby. Prise de panique, elle ne trouve rien d'autre à faire que crier. la main la tire par derrière, ou elle ne veut vraiment pas aller. Baby se débat et Hervé se réveille enfin. Il prend son amie par la main et tire de toutes ses forces. Le bras de Francine se détache de sa propriétaire et Baby est libre. Mais le monstre n'est toujours pas neutralisé. Baby saisit le fusil de duck hunt dans la poche arrière de son ami et s'en sert comme d'une fronde, en le tenant par le fil. Elle atteint Francine à la tête du premier coup, et Francine tombe.
Baby tend le fusil vers Hervé, mais celui-ci fait non de la tête. Elle enroule le fil et le met dans sa sacoche. Les deux amis commencent èa marcher vers le mail.
- La seule affaire c'Est que chez footlocker, il y a pas grand choix...
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Olaf Larsen
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeVen 30 Mai 2008 - 16:37

Olaf filait à 140 km/h sur l’autoroute, espérant atteindre Montréal à temps. La découverte qu’il venait de faire allait sans doute changer définitivement la donne par rapport à ce virus, nommé VZ001 par les spécialistes américains. Réfugié dans son chalet depuis le début du mois de mars, Olaf avait travaillé à temps plein sur cette nouvelle plaie, qui avait quitté New York pour se répandre de par le monde. Le siège de l’ONU ayant été transféré à Genève, en Suisse, en février, il était l’un des rares scientifiques à être resté en Amérique, travaillant dans son coin bien qu’en collaboration constante avec les autres sommités de médecine et de chimie de par le monde. Il commençait toutefois à être inquiet. Depuis la fin avril, il n’avait plus aucune nouvelle de ses employeurs, l’ONU et les gouvernements canadien et américain, la radio avait cessé d’émettre trois jours plus tôt et ses collègues ne répondaient plus à leurs cellulaires. Et si la situation, déjà passablement merdique, avait empiré? Si ce qu’il avait craint dès le début de cette épidémie était enfin arrivé: les humains étaient devenus…minoritaires sur la planète? Que disait-il, minoritaires, voilà près d’un mois que les contaminés excédaient le nombre des humains…une poignée? Il n’osait imaginer cela.

Seul sur l’autoroute, Olaf était plongé dans ses sombres pensées, et ne portait pas suffisamment attention à la route. Soudain, il aperçut une forme noire surgir au milieu de la voie. Lâchant un juron suédois, le chimiste appuya aussitôt sur le frein. Trop peu, trop tard. Faisant un 180 avec sa Lexus GS 450h ‘2005, il ne puit arrêter sa course à temps et l’arrière de son véhicule percuta violemment la personne se tenant sur la route. Secoué par le choc, Olaf eut besoin de quelques instants pour rassembler ses idées et les remettre en place. Il venait sans doute de tuer quelqu’un. Pas que cela changeait grand-chose au plan de la loi, de toute façon, avec la situation de crise mondiale, l’autorité policière en avait plein les bras. Mais tout de même… devait-il prendre le risque de sortir de l’automobile et aller voir si elle était encore vivante? Et si c’était un de ces foutus zombies…mais sinon, il aurait un mort sur la conscience. Il devait savoir.

Sortant tranquillement de sa bagnole, Olaf saisit le Beretta 92 que lui avait confié le gouvernement pour sa sécurité lorsqu’il était parti à son chalet et se dirigea vers l’arrière de sa voiture. Il ne voyait que les pieds de la victime, immobile. Approchant doucement, l’arme au poing, Olaf osa alors parler:
« Hello? Are you ok, sir? »

Pas de réponses. La sueur perlant sur son front, le vieux Suédois poursuivit sa route et aperçut enfin sa victime. Un homme dans la trentaine, basané malgré le temps froid de ce début mai, dont l’abdomen avait été sectionné par les roues arrière. Tremblant de dégoût face à ce tas de chair encore sanguinolent, le scientifique se releva, épongeant son front de sa manche de sarreau, tentant de reprendre son souffle. Ce ne pouvait être un zombie: il aurait encore bougé. Il fallait lui bousiller le cerveau pour qu’il meurt vraiment. Un humain donc…quel malheur.

Il retourna vers l’habitacle de sa Lexus, secoué. S’enfermant dans son véhicule, il respira profondément, incapable de reprendre contenance. Il savait ce qu’il avait besoin. Ouvrant son coffre à gants, il en sortit aussitôt sa seringue, son petit tuyau de latex et la fiole contenant sa morphine liquide. Remplissant la seringue d’environ 7 milligrammes, il fit ressortir l’une des veines et son bras et s’injecta la substance. Presque aussitôt, un calme apaisant l’envahit, et tout son corps se détendit d’un coup. Rangeant son matériel dans le coffre à gant, il se réinstalla au volant et redémarra la voiture, entièrement posé et libéré du stress. Et c’est alors qu’il les VIT.

Des zombies. Quatre zombies, laids, en état de décomposition avancé, s’avançaient vers son automobile, une rage carnassière dans les yeux. Voilà ce que l’homme fuyait. Voilà pourquoi il avait tenté de traverser l’autoroute. Bon Dieu, n’aurait-il pas pu écraser l’un d’entre eux plutôt que ce pauvre type encore humain? La panique gagna son esprit. Les morts-vivants s’avançaient toujours, menaçants, cernant sa Lexus. Il n’y avait donc plus qu’un moyen…

Olaf appuya sur l’accélérateur. Fonçant à toute allure, il percuta deux zombies. L’un passa sous les roues, l’autre frappa violemment le pare-brise et le fit craquer en de multiples endroits, tandis que les deux autres se jetèrent sur le véhicule et s’accrochèrent aux portes de devant, Dieu merci verrouillées. Traînant ces trois zombies sur une dizaine de mètres, Olaf sentit qu’il perdrait sous peu le contrôle de la bagnole sous toute cette pression. Il aperçut alors la sortie qu’il venait de passer avant de frapper son type, indiquant « Saint-John’s ». Tournant violemment, en sens inverse de la voie, le zombie de son pare-brise et celui se tenant à la porte côté passager basculèrent dans le fossé, tandis que la Lexus s’engageait difficilement dans la courbe. Reprenant plus ou moins contrôle du véhicule, Olaf parvint à quitter la sortie et entra dans la petite ville de Saint-John’s, se retrouva face à un petit centre commercial, appelé « Centre d’achats de la pourvoirie ». Sans hésiter, il fonça dans le stationnement de ce dernier, espérant y trouver encore âme qui vive. C’est alors que le dernier zombie restant, accroché à la porte côté conducteur, rappela sa présence, frappant violemment dans la fenêtre. La vitre vola en miettes. Certains bouts de verre lui entaillant le visage, aveuglé, Olaf perdit le contrôle. La voiture frappa le trottoir, monta dessus et se renversa sur le côté, écrasant du coup le malheureux zombie affamé. Tout devint alors noir.

Olaf retrouva ses esprits quelques instants plus tard. Il se trouvait toujours à la place du conducteur, grâce à sa ceinture de sécurité, il avait une profonde entaille au front et une autre sous l’œil gauche, son épaule et sa hanche gauches le faisaient souffrir le martyre, mais sinon, rien. Quelle chance tout de même! Le zombie accroché à sa porte avait été moins chanceux: écrasé sous le poids de la Lexus, sa tête s’était brisée sous le choc et les bouts de sa cervelle étaient répandus un peu partout autour. S’extirpant difficilement de la voiture, Olaf récupéra dans son coffre à gants son kit de morphine, son petit sac d’instruments de chimie et son Beretta 92. Puis, voyant que les zombies des alentours, excités sans doute par l’odeur de son sang, s’approchaient dangereusement trop proche, il ne se posa aucune question, laissa ses autres effets personnels dans le coffre arrière de la voiture où ils se trouvaient et franchit aussitôt la vitrine fracassée d’une des portes du centre commercial. Au moins y serait-il peut-être à l’abri le temps de trouver ce qu’il devait faire…
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Elizabeth C. Avery
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Elizabeth C. Avery


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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeLun 2 Juin 2008 - 12:07

Elizabeth C. Avery n'en revenait tout simplement pas. Éternellement cloîtrée dans son petit chalet en bois rond situé en retrait de St John's, toujours en train d'écrire, elle n'avait pas pu voir cela venir. Aucun mot ne pouvait décrire la situation...

Très aisée, elle aimait pourtant les choses simples, le retour à la nature. Certains proches prenaient régulièrement de ses nouvelles et hormis le téléphone, la seule "technologie" présente dans le chalet était la radio trônant dans le salon. On y annonçait des trucs étranges, hors du commun. Était-ce un canular? Elizabeth ne savait plus quoi en penser. Des gens contaminés par un virus et ressemblant en tout point aux zombies de films?! Il fallait qu'elle en aille le coeur net.

-Ça fait trop longtemps que je suis seule si je crois en la possibilité que des zombies courent les rues..., pensa-t-elle tout haut.

La jeune femme, en sortant du chalet, hésita. Possédant une Westfalia et une BMW, elle se dirigea finalement vers cette dernière. Elle roula quelques kilomètres sans rencontrer personne. Normal, elle habitait loin dans les bo...

-Ahhhhhhh, espèce d'imbécile de mes deux!!!!!!!!!!!!, hurla-t-elle en fusillant des yeux le taxi qui venait de lui couper brutalement la route. Non, mais je rêve, ou la politesse a pris le bord, cria-t-elle en frappant son volant.

Puis, elle jeta un regard autour d'elle. Bien qu'arrivée en ville, tout était tranquille. Trop tranquille. Même Jimmy, le vieux monsieur alcoolique qui rôdait tout le temps n'apparaissait pas.

C'est là qu'elle découvrit toute l'ampleur de ce qui n'était pas un canular. Elle vit des morts (ou des vivants déchiquetés?!) qui se traînaient près de chez Zebrowsky, l'autre alcoolique...BANG! Un zombie venait de tenter de monter sur sa voiture. Elle accéléra et freina brusquement. Le zombie virevolta dans les airs...et se releva lentement!

-Ohhh mon dieu!, s'inquiéta-t-elle.

Combien étaient-ils? Combien allaient-ils être? Vite, retourner chez elle pour être à l'abri! À l'abri? Seule dans le bois?! À quoi pensait-elle! Trouver des gens...le seul endroit pour se réfugier était le centre d'achats. Elle retourna chez elle, pris des couvertures et de la nourriture, saisit également sa radio et à toute vitesse sortit à l'extérieur, troquant cette fois sa BMW pour sa bonne vieille Westfalia. Elle fit crisser les pneus de "West" tout le long du trajet.
Pas une minute n'était à perdre.

-Bon sang, je suis conne!, cria Elizabeth en se frappant violemment le front.

Elle qui avait suivi des cours de maniement d'armes pour être proche du personnage principal de son dernier roman, un tireur d'élite, elle avait laissé son arme chez elle!!!!!!!!!


Dernière édition par Elizabeth C. Avery le Ven 20 Juin 2008 - 21:58, édité 1 fois
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John Zebrowski
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 0:55

Fern s'était endormi , à son poste, la carabine à la main, pendant son tour de garde. John était en train d'inspecter les premiers étalages de la boutique quand une voix vint le surprendre.

«-Hey! Du monde! Ah ben bâtard! Salut, ça va?»

John sursauta. En un instant il s'était retourné et avait dégainé son Colt Python qui pointait maintenant dans la direction d'oû venait le bruit.

-MONTRE TOI ... LES ... LES MAINS EN L'AIR !

Un homme s'avanca. Il était grand et avait un visage sympathique. Il portait un chandail noir et un jeans serré. John remarqua aussitôt qu'il était armé d'un tout petit 9 mm. Il décida donc qu' il pouvait être une menace.

- LÂCHE TON ARME MERDE !

Fern s'était réveillé sur l'entrefait et il s'était approché.

- Merde John , mais qu'est-ce que tu fait ? Tu vois bien qu'il est comme nous, que c'est pas un de ces foutus monstres.

John s'emblait hésitant, confus. Il ne savais plus quoi faire. Dans son métier, tout homme ayant une arme constituait un danger potentiel. Dans cette situation pourtant, les personnes encore en vie portaient certainement une arme. Il abaissa donc son Colt, restant toutefois en alerte. Il décida d'en apprendre un peu plus sur l'homme qui se présentait devant lui.

-Qui es-tu ? Quel est ton nom ? . Dit moi, comment à tu fait pour te rendre jusqu'ici? Il faudrait que ...

Un énorme bruit de métal tordu gronda provenant de l'extérieur de l'édifice faisant susauter les 3 hommes. Puis ,ils se regardèrent , cherchant une réponse dans le regard de l'autre. Soudain, un bruit de pas écrasant de la vitre se fit entendre à l'entrée du magasin, là où la vitrine s'était brisée.

-Merde... mais qu'est-ce que c'est encore ?

Quelqu'un approchait. Quelqu'un ou quelque chose ...
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Olaf Larsen
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 13:53

Olaf traversait l’allée centrale du « Centre d’achats de la pourvoirie » de son pas le plus rapide, bien que la morphine rendait ses mouvements plutôt lents. La drogue avait progressivement fait son œuvre, et le scientifique ne sentait plus aucune douleur suite à son accident. Seul le sang chaud coulant sur son visage, dû aux coupures sous son œil et au front, lui rappelait qu’il avait bien failli y laisser sa peau. Poursuivant sa route, il observait en même temps le centre commercial où il s’était réfugié. Une banque, des boutiques de vêtements ou de chaussures, un magasin de livres et de CD…bref, c’était un restant de civilisation occidentale qu’il avait sous les yeux, et qui lui apportait un certain réconfort, alors que dans son jeune temps, où il s’était illustré comme marxiste, cela l’aurait littéralement exécré. Puis, enfin, il tomba sur quelque chose qui lui serait utile: le magasin de chasse et pêche « Chez l’oncle Fernand ». Sans doute y trouverait-il des armes pour tenir contre ces zombies s’ils leur prenaient le malin plaisir de venir lui faire une visite de courtoisie. Pour la nourriture…il avait cru voir une épicerie à côté de la banque à laquelle il avait fait face en pénétrant dans le centre. Sans doute tiendrait-il ici le temps de trouver un nouveau moyen de transport pour gagner Montréal et transmettre ses découvertes à ses collègues…s’ils vivaient toujours.

Plongé dans ses pensées, Olaf entra chez l’oncle Fernand sans même remarquer qu’il y avait de la lumière. Ce n’est qu’une fois à l’intérieur, avec un pistolet étincelant sous le nez, qu’il réalisa qu’il n’était pas seul. Levant la tête vivement, il aperçut devant lui un grand homme aux cheveux brun-noir sales, mal rasé, à l’odeur douteuse, habillé de façon on ne peut moins conventionnel: jean, veste pare-balles, espadrilles et casquette avec la palette par en arrière, comme il avait vu si souvent chez ses élèves. Un peu surpris par l’énorme pistolet scintillant sous les néons, il se contenta de plonger son regard dans les yeux fiers de cet homme, qui l’observaient avec une expression étrange, comme s’il hésitait entre appuyer sur la gâchette ou lui serrer la main. La morphine aidant, Olaf resta entièrement calme, soutenant le regard de son assaillant, et, après un moment, fini par dire:
« Hi, sir. Can I know why you put a gun in my face? »

L’homme le regardait sans rien dire, un peu surpris. Ma foi, était-ce le premier anglophone qu’il voyait de sa vie? Pourtant, avec ce nom, Saint-John’s, nul doute que le bled était au moins bilingue. Il allait répéter sa question en français lorsque un homme qu’il n’avait pas remarquer, vieux, bien installé dans une chaise roulante, un peu bedonnant, carabine en main, lança:
« Pas un maudit Ontarien! Ok, celui-là tu peux le tuer, Johnny! »

Johnny se contenta de regarder le paralytique du coin de l’œil. Puis, ses lèvres sèches s’étirèrent en un sourire et, secoué de spasmes, il finit par éclater de rire, baissant son arme. Surpris de cette hilarité, Olaf resta de marbre, puis, gagné à son tour, ricana un peu, avant de lancer, en français cette fois:
« C’est bon voir quelque homme vivant! »

Aussitôt, les deux hommes retrouvèrent leur sérieux et regardèrent Olaf, sans doute surpris par cet accent si caractéristique qu’il avait en français.
« Tu viens d’où, toi? de lancer le paralytique.
-Sweden, répondit Olaf. Mais je parle aussi anglais et français.
-Ben cou donc, de lancer un homme qu’Olaf n’avait pas encore remarqué, un type d’environ 20 ans, avec un visage rond d’adolescent mais qui avait l’air très sympathique, dommage que ce soit pas une femme! Je dirais pas non à une Suédoise moi!

Le paralytique ricana, Olaf en déduisit donc que c’était une blague. Ce foutu handicap par rapport au français! Il savait qu’il aurait dû s’y appliquer davantage. Mais quand on vit à Beaconsfield et qu’on enseigne à McGill…

Johnny s’était écarté, laissant le passage à Olaf, mais il avait récupéré son visage sévère et impénétrable, et il regardait le scientifique froidement. Rejetant derrière ses oreilles ses cheveux blancs, qui commençaient à être longs aussi pour Olaf, ne les ayant pas fait couper isolé comme il était dans son chalet, il aperçut une chaise et alla s’y asseoir, pas fâché d’avoir trouver d’autres visages humains. Puis, baissant les yeux vers son sarreau et apercevant les taches de sang qui commençaient à y sécher, il se souvint de ses blessures et lança à tout le monde, ne sachant qui était le propriétaire des lieux:
« Y a-t-il première aide kit ici? »

HRP: Désolé d’avoir fait agir vos persos, les gars, mais je voulais m’introduire convenablement…
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Valentine Heart
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 17:28

Valentine venait d'éliminer sa propre mère, il fallait dire qu'elle avait tout de même tenter de le bouffer, mais quand même...c'était sa mère. Il devait trouver un endroit ou il pourrait se caché et vivre en même temps, bien que l'idée de vivre caché ne lui plaise guère plus que d'embrasser le cul d,un moustique, il n'avait pas le choix. D'ailleurs, cela serait plutôt difficile de faire puisque tout les endroits étaient envahit par les zombies, ces cochonneries ambulantes! Il marchait le plus silencieusement possible, bien que ce fut plutôt impossible vu le silence écrasant qui régnait. Tentant d'assourdir ses pas sur la pierre des ruelles sinistres qui entourait le carré ou il vivait auparavant, car il ne considérait plus la tente roulotte comme sa maison, c'était devenu le tombeau de sa mère! À sa plus grande horreur, il apperçut deux zombies un peu plus loin, pouark! Il changea aussitôt de direction et bifurqua dans une petite ruelle étroite, froide et remplis de poubelles et d'ordures...quelques cadavres s'y trouvaient...Il essaya de ne pas vomir, c'était carrément répugnant. Un bruit de verre briser le fit sursauter, il cru que son coeur allait s'arrêter. Il se retourna et apperçut...un chat. Il soupira, ce n'était qu'un pauvre chat errant, sans plus. Il s'en approcha doucement pour ne pas l'effrayer, voulant le caresser, une horrible main grisâtre et squelettique s'en sasi et tira la pauvre bête dans le noir d'une ruelle adjacente. Valentine resta figer un moment puis prit ses jambes à son cou dès que retentirent les premiers cris agonisant du chat qui résonnaient comme un hurlement en échoe dans le petit espace de l'endroit. Ne regardant pas ou il mettait les pieds, Valentine trébucha contre un sac d'ordures qui n'aurait pas du y être et tomba face contre terre, s'étalant de tout so long. Une douleur sourde parcouru sa cheville et des gargouillis peu ragoûtant se firent entendre derrière lui. Il ne prit pas la peine de vérifier l'état de sa blessure et reprit sa course, pousser par la peur que lui inspirait le zombie qui se trouvait à quelques mètres derrière lui. Sa cheville l'élançait horriblement.
Il finit par s'arrêter dans un petit coin désert, essoufflé, le front en sueur. Reprenant sa respiration, il constata finalement de l'état de sa cheville. Une longue entaille la traversait et un morceau de verre s'y trouvait. Il le retira d'un coup sec en serrant les dents et déchira un morceau de son chandail pour se faire un bandage. Une fois cela fait, il se mis à réfléchir aux options qui lui restaient. Tout d'abord, il lui faudrait du désinfectant et des bandes propres pour pouvoir soigner sa cheville. En résumé, il lui fallait atteindre la pharmacie, celle-ci ne se trouvait pas très loin, à quelques rues à peine, avec de la chance, il ne croiserait pas trop de zombies. Il pensait bien...avec de la chance...on peut tout faire, c'était le temps de la tester un peu! Il reprit donc la route, cinq minutes plus tard, il était devant la bâtisse, bien cacher derrière une ben à ordure, il essayait de voir si le magasin était désert. Pas de chance, tout le personnelle zombifié s'y trouvait encore! Il cru même apperçevoir le nom d'une fille qu'il connaissait sur la chemise couverte de sang de l'une des employées zombie...Il frissonna, cette fille avait toujours été d'un froid avec lui! Le vert lui allait mieux d'ailleurs...Il soupira, il ne lui restait plus que le centre commerciale, c'était le seul endroit plausible ou il trouverait ce qu'il cherchait. D,ailleurs, si l'entrée principale était fermé, il pourrait toujours passer par derrière, il avait encore les clés du magasin de jeux ou il travaillait avant l'invasion. En s'y rendant, il croisa quelques zombies dont il poignarda la tête de son katana, transperçant le cerveau, biark! Une fois le centre en vue, il préféra aussitôt passer par derrière, c'était plus sur. Traversant le parking au pas de course malgré sa cheville qui l'élançait encore, il atteignit la porte des employés et déverouilla la porte puis entra. Il faisait noir, de chance, il mis la main sur la lampe de poche de secours qui se trouvait non loin de la porte. Tentant d'oublier le fait qu'il y avait peut-être encore des zombies dans le coin, il alluma. Balançant son faisceau au alentours, il ne vit que les piles de DVD et de jeux, sans plus. Il sortit de l'entrepôt avec prudence et entra dans la salle principale, la caisse était encore ouverte, les vitres fracassés et les étalages, pour la plus part vides, étaient décrochés de leurs gonds. Il s'assura qu'il n'y avait personnes et s'approcha prudement de la porte, rien. La pharmacie du centre commerciale se trouvait à quelques boutiques de la...forte heureusement pour lui...
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Amélie Labelle
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 4 Juin 2008 - 22:46

Tout ne fait que commencer :

Amélie prenais une pause. Elle avait travaillé toute la journée et terminait dans quelques heures. Elle était épuisée. Elle prit le temps de s’installée confortablement sur une chaise pour se détendre un peu en écoutant la radio.
On parle d’une épidémie qui rendrait les gens agressif. Elle souhaita alors ne pas tomber malade, qu’arriverait-il si elle devait arrêter le travail? Elle sortit de ses pensées : le boulot l’attendait

L’épidémie continue de se répandre à la grandeur de la planète et ce, de plus en pus rapidement.

Amélie était dans l’Hôtel et faisait son boulot quand un petit garçon passa en courant rejoindre sa mère. Le pauvre petit, il semblait s’être fait mal, il tenait son bras et pleurait.sa mère, un peu plus loin derrière l’accueilli dans ses bars et lui demanda ce qui n’allait pas

-le monsieur bizarre il m’a mordu!

C’est a se moment qu’Amélie eu l’impression de recevoir un coup de poing sur la gueule. Il lui était déjà arrivé de rencontrer des Homme et des femmes étranges, des contaminé, mais elle faisait confiance aux autorités pour les arrêter avant qu’ils ne deviennent trop dangereux pour la population. Cependant, elle avait également remarqué que ces rencontres étaient de plus en plus fréquentes : ils devenaient plus nombreux. Elle avait alors commencé à s’inquiéter.

Maintenant que ce petit c’était fait mordre, elle n’était pas qu’inquiète, elle fut carrément prise de panique. ÉMILE! Elle devait le protéger, l’emmener dans un endroit sur, un endroit où personne ne pourrait les retrouver. Avant tout, elle devait se rendre à la garderie et prendre son fils avant qu’un de ses monstres dégoutants ne décide d’en prendre une bouchée. N’avisant personne de son départ, elle se rendit immédiatement à l’arrêt d’autobus où elle attendrait pendant environ 10 min.

Pendant ce temps, elle regardait les passants et elle se trouva idiote. Pourquoi n’était-elle pas partie avant? Elle mettait la vie de son fils et la sienne en danger. On voyait sans cesse des gens mort au bulletin télévisé et cette maudite épidémie! Mais a la télé, on dirait que ca changeait tout, ca paraissait plus normal. Tout cela n’annonçait rien de bon!

L’autobus arriva enfin! Elle alla chercher son fils, se rendit chez elle et empaqueta tout ce qu’elle considérait comme nécessaire. Elle alla même à la petite épicerie du coin pour se prendre de quoi survivre pendant des semaines! Ensuite, elle retourna chez elle pour se trouver une arme : la batte de baseball qui était dans le placard depuis qu’elle avait emménagé. Elle partie donc en taxi, direction St John’s

C’était le premier endroit auquel elle avait pensée, là où elle avait vécu sa jeunesse, la maison de ses parents, la cave via la trappe. Lorsqu’elle arriva, elle regarda la maison avec nostalgie. Tout ce temps où elle ne leur avait pas adressé la parole. Ils ne connaissaient même pas l’existence d’Émile. La maison sembla inhabitée. Elle frappa quelques coups à la porte mais personne ne répondit. Comme la porte n’était pas verrouillée, elle décida d’entrer. Une ombre se déplaçait

Approchant cers elle, la silhouette s’éclaira dans la lumière du jour que la porte avait laissé entrer. Elle fut soulager de reconnaître la vielle voisine

-Ha! Madame Nadeau! Bonjour!

- gdhdhhsgvgfdghaftyfehjbdkshauhdueyu

-Pardon? Êtes...êtes vous malade?

Elle comprit la réponse lorsque la vielle femme l’attaqua. Émile était attaché à sa taille et ses épaules dans un sac-camisole ou le bébé peut être placé, collé sur sa mère. Heureusement qu’il était dans se sac à bébé parce que dans cette situation, la jeune mère aurait du le laisser par terre et il y aurait eu des risques qu’il tombe dans les escaliers. Elle prit la batte de baseball et frappa à grand coup sur la vielle femme qu’elle avait toujours détesté de son jeune temps. Elle reprit ses affaires et, ne voulant plus savoir se qui était arrivé à sa famille, elle partie dans la cave.

La cave était accessible via l’extérieur de la maison. Il suffisait de trouver la trappe et de descendre les escaliers. Le bas n’était pas des plus spacieux mais était amplement suffisant. Il y avait un réfrigérateur en marche, des lits de camps et même quelques boîtes de conserves qui leur permettraient de prolonger leur séjour de quelques jours. Ils s’installèrent donc dans cette cave

Les humains sont minoritaires, Les Zombies dominent le monde

Amélie avait écouté la radio tous les jours pour savoir si, à l’extérieur, la situation s’améliorait. Au contraire, celle-ci empirait. Maintenant, sa fesait 1 journée que les ondes était fermer et elle allait manquer de nourriture. Elle n’avait pas le choix : elle devait aller affronter le monde extérieur. Elle mit Émile dans le porte bébé, cela faciliterait ses mouvements avec la batte de baseball si elle se faisait attaquer et elle sorte de la cave

La rue était déserte. Quelques corps ensanglanté gisaient sur le sol. C’est alors qu’elle l’aperçu, juste là, devant elle. C'était comme un cadeau de dieu. Il lui sembla même un instant que juste au dessus de lui, un trou c’était formé dans un nuage gris et une lumière plus claire le pointait. C’était un Hummer de l’année, tout équipé, flambant neuf avec les clefs dans le contact. Elle y installa le bébé et se rendit à l’épicerie la plus proche : celle du centre d’achat de St John’s. Bien sur, elle rencontra quelques zombies en chemins mais, avec un Hummer, elle n’avait l’impression que d’écraser un petit animal sur la route. Cinq minute plus tard, elle était au centre commercial, à la petite épicerie et empaquetait de la nourriture
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Suzie Baby
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 11 Juin 2008 - 12:50

Clic clop clic clop…
Baby claudiquait derrière Hervé. Ils marchaient maintenant, et de plus en plus lentement, aux aguets. Les deux amis s’approchaient du centre d’achat, duquel on entendait du mouvement, des voix. Impossible de savoir si elles étaient vivantes ou… moins vivante. Mais une chose était certaine, quelque chose était à l’intérieur. Hervé lui fit signe de se coller contre le mur, et Baby obtempéra. Il fit de même. Baby était très nerveuse. Elle ne voulait pas se retrouver devant une cinquantaine de zombie avec leurs carrosses et leurs sacs d’épicerie, en train de faire leur marché. Hervé s’approcha de la baie vitrée, en tenant fermement son courage à deux mains. Il sentit une pression sur son épaule et, repensant à la charmante Francine en décomposition, il sursauta violement, pour se rendre compte que ce n’était que son amie.
- Prend ça, on sait jamais.
Elle lui tendit une canne noire, ramassée quelque pas plus tôt.
Plus ils avançaient vers l’entrée, moins elle avait envie d’y aller. De moins en moins elle pensait que c’était une bonne idée.
- On retourne se cacher cinémaCinq ok?
Hervé ne répondit pas. Il toussota, tira sur son chandail, re-toussota…
- Arrête de faire du bruit!!!
- Mais lâche mon T-shirt! J’étouffe là.
Déconfite, Suzie lâche le chandail violet de son ami qu’elle avait empoigné sans s,en rendre compte, en le suivant, et laisse retomber ses bras mollement le long de son corps.
- Excuse moi, je m’en était pas rendu compte…
- Ah… fais moi pas ces yeux là…les yeux de bébé phoque, fais pas ça.
- J’ai un tout petit peu peur, Vévé. On sait pas ce qu’il y a là-dedans
- Tiens mon sac à dos, on y –
Mais Hervé ne put finir sa phrase. Une Lexus entra en trombe dans le stationnement derrière eux, et alla finir sa course les quatre roues en l’air, au coin du bâtiment devant eux, le tout en ramassant allègrement un ou deux zombies, une poubelle, trois buissons et la chaîne de trottoir.
- Woaaaahh! Firent en cœur les deux adolescents.
Les zombies détachent lentement leur attention d’eux pour la porter tout aussi lentement à la voiture renversée. Lentement, ils avancent.
- Pas de chance.
- Mouaip, répond Baby, t’as beau passer toute ta vie dans la dentelle et le stainless steel, quand vient le temps de mourir, tu scrap ton char comme tout le monde!
- … maudite niaiseuse.

Baby arbore un sourire fier, mais ce sourire diminue graduellement.
- J’ai pas vraiment full envie de rentrer par là moi…
- Je pensais justement la même affaire, répond Baby.
- Peut-être si on s’essaye au footlocker? C’est là qu’on voulait aller au début, j’veux dire, avant même de voir le char de l’autre dude là, le boiteux… c’est comment déjà son nom?
- Zebrowski… comme le policier de second rôle dans les nouvelles de Laurel K. Hamilton.
- Ah oui! C’est vrai, Big Zeb!

Les deux amis font donc le tour du centre d’achat par la gauche, c'est-à-dire sans passer près de la voiture accidentée, et arrivent devant le footlocker. Ils n’entendent aucun autre bruit que celui du sac en plastique qui flotte au vent. La porte est ouverte, probablement à cause de la chaleur des dernières semaines, mais miraculeusement, toutes les grandes fenêtres sont intactes.
Ils entrent. Des centaines de boîtes de souliers recouvrent le sol.
- Tu fais quelle grandeur?
- J’veux pas te le dire, j’suis gênée.
- Comment ça? Ah! Maudit que t’es gougounne, tu dois pas avoir des pieds si géants que ça…
Baby rit du jeux de mots involontaire et s’empare d’une boîte. Elle en sort des sneakers Convers bleu ciel et les enfile. Elle fait quelque pas avec et s’assoie sur le comptoir, satisfaite. Hervé, qui avait ramassé deux boîtes et gardé le gauche d’une couleur et le droit d’une autre, est maintenant assis confortablement par terre. Tout en parlant de l’accident, il trille les chaussettes. Pour Homme : dans ton sac à dos, pour femme : lance à Baby. Il parle, parle et parle, sans s’arrêter. « À mon avis ci, de toute façon ça… » Mais Baby ne l’écoute déjà plus. Elle tente de focusser sur d’autres sons. Les sons, si elle avait été un hibou ou un chien, elle les aurait identifiés tout de suite : Vivants. Mais elle n’était ni l’un, ni l’autre. Elle était même un peu sourde, à force d’écouter de la musique dans des écouteurs, volume au maximum. Donc elle savait qu’il y avait quelque chose et que ce quelque chose se rapprochait… peut-être. En tout cas, il y avait quelque chose. Alors elle se lève et essaye de se rapprocher de l’entré donnant sur le mail sans faire de bruit mais elle se barre les pieds dans une boîte et tombe, face contre terre, à l’extérieur du magasin. Il y a un silence puis des éclats de rire fusent de toutes les directions. Hervé s’accroupit près d’elle et lui tend la main et lui chuchote vivement :
- ‘Sont vivants, Babe! Vivants! Ya même Big Zeb!
- ah non…! Ça veut dire que j’ai fait une folle de moi devant du vrai monde?
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John Zebrowski
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMar 17 Juin 2008 - 17:57

En voyant l'autre blonde se planter carré dans la porte, Zebrowski ne pu s'empêcher de pousser un petit rire, accompagné par l'autre efféminé chauffeur de taxi et le vieux sénil. Au moins, celle-là, il était sur que ce n'était pas un de ces putains de zombies à la con. En y repensant, c'était à peine croyable que parmis tout le groupe qui s'était formé, il était le seul à être entrainer à une situation périlleuse. Tout les autres qui l'accompagnait étaient des imbéciles de tout genre qu'il n'avais pas l'air de savoir comment vivre seul ... aloers en compagnie de zombies . au moins , il y avait Fern, le seul qu'il connaissait et respectait. D'ailleur cela lui faisait penser à quelque chose.

- Bon, je propose qu 'on se rejoignent tous au magasin de Fern et qu'on établisse un plan pour la suite des choses , un plan de survie si vous voyez ce que je veux dire.

Tout le monde acquiessa et se mit en route.

AU MAGASIN DE FERN

Tout le groupe était assis en rond, par terre et sur quelques chai,ses de camping autour d'une tasse de café que Fern avait eu la gentillesse de faire.

- Je crois qu'on à pas trente-six milles solutions. Soit on essait de se baricadé ici pour un bout , soit on ramasse tout ce qu'on peut et on crisse le camps d'ici le plus loin possible. Je propose un vote à main levée. Qui vote pour sacré notre camps

John leva la main et devant lemutisme des autres , explica:

- Nous n'avons aucune idée de ce qui se passe ailleur. Peut-être qu'il y à des centre de survie ... ils en parlaient au nouvelles. Peut-être que l'armé est en train de reprendre le contrôle ailleur. Je crois que si nous restons ici, nous devons sortir de toute façons mais qu'on ne sais pas si à ce moment là il y aura plus de zombies. Alors vous votez pour quoi ??
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Olaf Larsen
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMar 17 Juin 2008 - 20:49

Voyant que le grand type au Colt Python penchait pour la fuite, Olaf n’eut d’autres choix que d’intervenir.

« Mon cher John, avec tout respect, je ne pense pas que la fuite soit une solution. On s’est planqué ici justement pour être à l’abri, car la ville, si non le Quebec, n’est plus sûr. À moins d’avoir un avion et aller à Geneva, Switzerland, où l’UNO est, je ne pense pas que l’Amérique, qui est le premier continent touché par l’invasion, soit sûr. Par contre, si vous me trouvez un drug store, peut-être je peux aider. Je suis chimiste, et donc, je crois que je pourrais trouver une solution au virus VZ001 qui a rendu ces zombies… zombies ».

Ayant plus parlé en français que durant la dernière année de sa vie, Olaf se tut alors, se demandant si les autres ne trouveraient pas son « plan » (rester le temps de trouver un remède…) trop téméraire et, surtout, si prendre contre Zebrowski ne signifiait pas qu’il allait être laisser derrière. Sa Lexus, selon toute probabilité, ne fonctionnait plus, il serait donc difficile pour lui de quitter St-John’s sans leur aide…
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Elizabeth C. Avery
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeJeu 19 Juin 2008 - 13:24

Le centre d'achats ne lui avait jamais paru aussi loin. Elizabeth grogna contre sa stupidité mais rejetta d'emblée l'idée de retourner chez elle chercher son arme. Ne pas rester seule était primordial, donc trouver du monde était...nécessaire. Et puis, en plus de sembler être le bâtiment le plus sécuritaire de la petite ville, le centre d'achats regorgeait d'éléments essentiels à sa survie: vêtements chauds, armes quelconques à la boutique de Fern, son vieil oncle excentrique, mais surtout, de la "bouffe en cacannes".

"Je me demande si Ferny va bien", pensa Liz.

Elle se dirigea immédiatement vers le commerce de ce dernier. Des éclats de voix lui parvinrent. Ils étaient plusieurs, mais combien? Sûrement pas en danger, ni infectés, vu qu'aucun n'avait le langage...peu commun (?!) des zombies qu'elle avait rencontrés en chemin. Elle avança et attendit discrètement la fin du speech de John. Un homme parla ensuite et elle n'entendit pas grand chose de ce qu'il débitait.

Elle apparu dans le cadre de porte.

-Moi, je te suis John-John mais on n'est pas mieux de rester ici un peu, se reposer et se revitailler avant? C'est bien ici pour cela, dit-elle.

Et elle alla serrer son oncle dans ses bras. Elle adorait surnommer ainsi l'ami de son oncle, qu'elle croisait les quelques fois ou elle allait à la boutique de Fern. C'était une atteinte amicale à sa virilité d'homme de loi. John semblait vouloir prendre les choses en main. C'était un bon policier alors, pourquoi pas? Pourvu que ce ne soit pas des bouteilles qu'on doive lui arracher des mains...

Elle observa la compagnie. On fit (enfin!) les présentations.

"Un vieux fou sympathique, un policier alcoolique aux manières peu orthodoxes, un halluciné avec un méga-accent, une blonde spéciale avec un copain niais et un gars qui porte des vêtements serrés. Ajoutez à ça une écrivaine en panne d'inspiration hermite comme je suis et...wow, quelle équipe!", songea-t-elle.

-Bon. Reste à savoir s'il y a d'autres personnes comme nous qui veulent sauver, ou du moins tenter, de sauver leur peau.", déclara Elizabeth.

Elle fit deux pas puis tout devint noir. Elle avait perdu connaissance.
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeDim 22 Juin 2008 - 18:25

Valentine venait finalement d'atteindre la pharmacie de l'endroit, rien en vue, tout était calme, beaucoup trop calme, quel silence...il pensa en s'infiltrant dans le magasin. Tout était sans dessus dessous, mais il trouva néanmoins ce qu'il cherchait, du désinfectant et des pansements. Prenant le soin d'écarter les morceaux de verres qui jonchaient le sol, il désinfecta sa blessure puis fit un bandage autours de celle-ci afin de stopper le saignement.

-Une bonne chose de faite...-

Dit-il tout haut, pour lui-même. Bon, restait à savoir si d'autres gens avaient réussient à survivre...et de façon réellement vivante à cette étrange épidémie qui survenait en ce moment. Il se leva, prit appui sur sa cheville blesser pour la tester, bon, elle faisait mal, mais ça n'allait pas le tuer. Il sortit de la petite pharmacie et passa la tête en dehors de la porte, il vit du monde un peu plus loin se diriger vers un magasin. Celui de Fern.

Le meilleur de tout ça était le fait qu'ils étaient, normaux! Yeah! Enfin! Il le observa un moment avant de se décider à aller les rejoindre. L'un d'entre eux venait de parler, lui, n'avait pas tout comprit, il ne parlait pas beaucoup français, c'était un autre problème. Si il se mettait à leur parler en japonais, ils le prendrait probablement pour un zombie!

-Ne! Mina! Konnichiwa...dai chabu?

Dit-il. Bien entendu, personne ne comprit, il le pensait bien à leur airs interrogateurs.

-Parle pas beaucoup français...-

Se reprit-il en souriant. Il passa une main dans ses cheveux l'air gêner. Qui pouvait-il, il n'avait jamais vraiment prit le temps d'apprendre le français, les mots qu'ils comprenaient principalement était ferme ta gueule, grouille ton cul, le client attend.
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Suzie Baby
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeJeu 26 Juin 2008 - 15:42

Assise par terre, avec une tasse remplie de café chaud entre les mains, Suzie écoute attentivement la conversation, mais ne dit rien. Elle n’a pas envie de parler, et elle est bien contente que quelqu’un d’autre prenne les décisions. Certains veulent rester, d’autres veulent partir, mais tous ne veulent pas mourir. Ambiance agréable. On se croirait presque autour d’un feu de camps, il ne manquerait que quelques guimauves et quelqu’un avec une guitare.
Elle lève les yeux vers son ami, assis sur une chaise de voyage, pour lui demander ce qu’est devenue sa guitare mais elle remarque qu’il a les yeux fermés, le menton accoté sur son épaule droite. Elle chuchote, en lui enfonçant le doigt dans les côtes :
- Vèv? Vèv tu dors?
Hervé sursaute et cherche la source de ce dérangement, puis focus sur la jeune fille. Il a les yeux vitreux.
- En tout cas, t’as l’air fatigué…
Le jeune homme grogne et se penche vers Baby. Elle fronce les sourcils.
- Quoi?
Il sourit faiblement, plus machinalement qu’autre chose, et tend la main vers elle, lentement.
- Qu’est-ce que…
D’un mouvement maladroit, Hervé empoigne la tasse de café et lui enlève des mains. C’est au tour de Suzie de sursauter. Hervé porte la tasse à ses lèvres et juste avant de prendre une gorgé, il dit :
- J’pense que j’en ai besoin, je m’endors.


Depuis le commencement, Hervé avait été son roc, son phare. Il avait toujours eu meilleur moral qu’elle et il trouvait toujours de quoi faire rire, même dans les moments les plus difficiles, même à travers l’abomination de ces créatures. Mais maintenant il était moins joyeux et il avait les idées moins claires, moins concises. Il avait perdu les quelques maigres kilos qu’il lui était physiquement possible de perdre et il était tellement nerveux, qu’il avait l’air perpétuellement sur la cocaïne.

« -Moi, je te suis John-John mais on n'est pas mieux de rester ici un peu, se reposer et se ravitailler avant? C'est bien ici pour cela… »

Une jeune femme entre et va serrer Fern dans ses bras. Elle jette un regard circulaire sur tout le monde, puis, devant sa mine dubitative, Fern fait de sommaires présentations.

Elle sourit par principe et lache :

-Bon. Reste à savoir s'il y a d'autres personnes comme nous qui veulent sauver, ou du moins tenter, de sauver leur peau.", déclare-t-elle
Au même moment, un jeune garçon se présente à quelques pieds du cadre, bien en vue et baragouine une ribambelle syllabes incongrues en souriant piteusement, l’air gêné.
- Est-ce que c’est arrangé ?
- Ça doit être arrangé.
- à mon avis c’est arrangé.
Baby n’en revient pas. Hervé non plus
- Remarque, si c’était arrangé, elle ne se serait pas évanouie…


Panique générale. Hystérie collective. Capotage de gagne… bref, tout le monde flip un max. Ceux qui étaient assis se lèvent et ceux qui étaient debout s’accroupissent près d’elle, Sauf Fern, qui reste assis, et on ne lui en veut pas.

- « Donnez-lui de l’air !!! » qu’il crie.
- « Toi ! donne moi ça ! » Suzie lance une veste marron au scientifique, qui la place sous la tête de la jeune femme.
- « J’ai de l’eau… » Elle lance aussi sa bouteille d’eau.
Hervé s’approche, en tendant le cou pour voir pardessus les épaules d’Olaf et du conducteur de taxi, qui sont tout près de Elizabeth.
- « Ça doit être le choc des cultures… il parait que c’est très déstabilisant… ou peut-être qu’elle est diabétique, comme la grand-mère de Baby ? »
Son amie tire lentement Hervé vers l’arrière, pour l’éloigner de l’action.
- « Ou peut-être qu’elle est contaminée. » Puis, un peu plus fort, elle rajoute :
- « Et y’a personne qui se demande comment ça se fait qu’on a un Jaune à St-John’s ???
- « Parle pas beaucoup français… » Suzie le regarde avec surprise et amusement.
- « Ouin bin, vous êtes deux ! »


Le policier regarde au loin tel un cowboy qui fait dos au coucher du soleil pour regarder la tempête qui s’en vient. Il a l’air grave et graduellement il fronce les sourcils en baissant la tête. Puis, sans se presser il lève le doigt et pointe vers la baie vitrée. Il a une touche d’inquiétude dans la voix quand il dit les mots, mais seul les gens qui le connaissent bien peuvent aussi y déceler une infime trace de peur.



« Ils arrivent. »
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Olaf Larsen
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeJeu 26 Juin 2008 - 23:10

Dès qu’il vit Elizabeth s’effondrer, Olaf s’élança vers elle…enfin, aussi vite qu’il le pouvait sous morphine. La petite blonde (comment s’appelait-elle déjà?) lui lança une veste marron à mettre sous sa tête, ce qu’il fit sur-le-champ. Puis, il alla chercher sa trousse d’instruments de chimie. Il n’était pas médecin, certes, mais sans doute aurait-il quelque chose pour la ranimer. Mais à peine arrivait-il à nouveau à côté d’elle que soudain, deux mots changèrent complètement la donne. Deux simples mots.

« Ils arrivent », dit Zebrowski, son regard perçant pointé au loin, dans l’allée du centre commercial.

Olaf se précipita aussitôt à côté de lui, regardant dans la direction de l’allée. Des zombies. En bande. Menaçants. Grognant dans cet horrible langage guttural qu’ils s’étaient fabriqués. Évidemment, les arrivées subséquentes avaient sans doute attisés leur instinct de prédateur, comme un requin sentant l’odeur du sang coulant par la plaie béante d’une baleine. Ils s’étaient introduits par la même porte que lui, et traversaient maintenant lentement l’allée, décidés à se taper le festin de leurs vies (ou de leurs morts?). Les voilà rendus en face du Footlocker. Plus que deux boutiques, et ils étaient devant le magasin de Fernand.

Il fallait agir, et vite. Olaf sortit aussitôt son Beretta 92, prêt à déglinguer autant de zombies que lui permettaient ses munitions. Mais alors qu’il mettait le premier du groupe en joue, Zebrowski lui abaissa son pistolet.

« What are you doing? lança le Suédois.
-Vous voulez vraiment attirer l’attention sur nous, Swedish? Restons tranquilles. Avec de la chance, ils passeront devant nous sans nous remarquer.
-Avec tout respect, Mister Zebrowski, les zombies ont bon odorat. Avec tout le va-et-vient, ils ont sûrement…how can I say…spottés? nous. Mieux vaut se débarrasser d’eux avant qu’eux se débarrasser de nous.
-Il a pas tort, Johnny, de lancer Fernand à roulettes. Hors de question qu’ils entrent dans mon magasin, ok?
-Je ne veux pas qu’on soit remarqué, point final! de rugir le flic alcoolo, hors de lui.

Au même moment, un bruit terrible se fit entendre. On aurait dit une douzaine d’œufs qu’on aurait broyé en même temps. Olaf porta aussitôt le regard dans l’allée. Il aperçut alors ce qui devait être une jeune femme (il faisait noir…), un panier d’épicerie plein à côté d’elle, qui frappait violemment le zombie de queue de sa batte de baseball. Les autres morts-vivants, poussant des cris stridents, s’élancèrent alors vers elle, voulant sans doute la bouffer.

« Well, this one, elle s’est fait remarquer! » de lancer Olaf à Zebrowski. Puis, sans plus attendre, il sortit de la boutique et, pointa son Beretta vers les zombies, tira trois balles de suite. Deux d’entre elles ne frappèrent que le vide, la troisième frappa un zombie au bras. Celui-ci, se retournant, jeta un regard imbécile à sa plaie, se demandant d’où venait la balle. Relevant la tête, son regard sans vie croisa celui d’Olaf. Un grognement rauque se fit entendre, il fit un pas dans sa direction.

Son crâne éclata en morceaux et sa cervelle se répandit sur les murs. Olaf, pétrifié, se retourna vers le magasin. John, Colt Python à la main, avait d’une seule balle renvoyer le zombie à l’enfer d’où il venait.
« Tu sais pas tirer, l’ancêtre! rugit-il. Retournes donc à tes putains de béchers! »

Et, avec un soupir de résignation, le policier commença à vider son chargeur sur les zombies. Ceux-ci, pris entre deux feux, ne savaient plus trop où donner de la tête. Olaf, se jetant au sol pour ne pas recevoir une balle de Zebrowski, commença à ramper prudemment au sol, se dirigeant lentement mais sûrement vers la jeune femme de l’autre côté. Il devait la tirer de là. Beretta en main, encore sous l’effet de la morphine, il ne craignait pas trop ces morts-vivants. Pourvu que la jeune femme survive d’ici à ce qu’il arrive…

* * * *


Dans le magasin de Fern, ceux qui restaient étaient encore un peu sous le choc de ce soudain déluge de feu. Le paralytique, carabine en main, ne pouvait se frayer un chemin pour aider John, sa nièce se trouvant directement de travers dans son chemin. Tous les autres ne savaient trop que faire. Suzy Baby, hurlant de terreur, ses mains sur ses oreilles, se blottissait contre Hervé, lui-même un peu dépassé par les événements. Le Japonais restait au milieu du chemin avec un air interrogatif, tandis que Raphaël ne savait plus sur quel pied danser, de toute évidence tiraillé entre aller éclater la tronche de zombies ou se planquer sous le tiroir-caisse. Voyant ce chaos, le vieillard se décida à intervenir.

« Ok, tout le monde, faut aider Johnny! Toi, la blonde, là…Suzy, arrête de gueuler comme ça, et prend la trousse que le vieux scientifique a laissé à côté de toi. Regardes si y’a pas quelque chose dedans pour réveiller ma Lizzie, on va en avoir besoin, elle est pro avec les armes! Hervé, le Chinois, tassez-la du chemin, que je passe! Toi, le gars avec les jeans serrés, sais-tu te servir d’une arme? Y’a des carabines en masse en arrière du comptoir, va en chercher une au lieu de rester là à rien foutre! Let’s go, gang, traînez pas! »
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Amélie Labelle
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeMer 2 Juil 2008 - 23:15

Amélie avait pris toutes la nouritures qu'elle avait besoins ainsi que couche pour bébé , revue de mode(ben quoi , c'est pas parceque la terre est envahi qu'on doit arrêter de se divertir) mais elle ne sacvais pas combien de temps elle réussirait a survivre avec cette nouriture. Elle alla porter tout ce qu'elle avait acheter dans le harmer puis retourna au magasin pour aller chercher encore plus de chose. C'était fou ,elle n'avait toujours pas rencontrer d'êtres humain qui était , et bin vivant quoi.

Elle avait fait le tour de l'épicerie et avait pris a peu près tout c qui lui tombait sur la main. Elle étais toute fois distraite.Impossible , elle ne pouvait être la seule , l'unique mais où ? où était-donc passé tout les autres. Elle avait peur , tellement peur!! Elle ne voulait par contre ne rien faire sentir a son fils qui gazouillait quelques mots comme si de rien était. « comme j'aimerais avoir cette age » ce surpris-elle a penser « c'est l'age idéale , on ne ce soucit de rien , surtout en ces temps ou il y a beaucoup plus a craindre , a cet age , il ne ce rendent même pas compte »

Maintenant qu'elle avait vidée tout les étalages de l'épicerie et qu'elle ne savais si c'était une bone idée de retourner dans son petit abris ou , bien qu'en sureté pour un moment , il n'y avait aucune chance qu'on ne la retrouve , elle décida d'aller dans les autres magasin du centre d'achat , où elle pourait trouver quelquechose d'utile

Bébé dans le sac à bébés et bien sur , le fameux batte de baseball en main , elle partie donc a la découverte du petit centre d'achats de St-John's trainant toujours avec elle , son panier d'épicerie.

elle passa tranquillement devant les magasins qui sembaient tous autant inhabité les uns que les autre.Elle ce pris en chemin quelques morceau de vêtement qui semblait plus propres que les quelques vêtement sales qu'ils étaient obliger de porter elle et son fils , n'ayant aucun moyen de les laver réellement.Lorsqu'elle passa devant le Footlocker , elle eu l'idée soudaine d'aller ce chercher des pantoufles confortables parcequ'on sait bien qu'une caves n'est pas très confortable pied nu et que porter des chaussures en tout temps devient très lassant. Elle alla donc se chercher des pantoufles douillette et changea au passage ces chaussure de travail pour des soulier de course mouelleux. Ce qui était très étrange c'est qu'elle ne trouva aucun ravage dans le Footlocker mais qu'elle vit des souliers a talons haut dont un talon était cassé. Quelqu'un avait probablement du passer par là mais , aucun indice ne révèlait que que ces souliers n'y était pas depuis des jours , voir même des semaines.Elle sortit du magasin de chaussures , heureuse de ces trouvailles.

Elle était a marcher tranquillement dans l'allée lorsqu'elle s'arrêta net. Elle entendait des murmures. Peut-être était-ce des être humain , je veux dire , bien vivant et normaux comme tout le monde. En fin , comme tout le monde était il n'y avait pas si longtemps. Le problème c'est que rien ne disait que ce n'était pas ces mort vivant qui ne pense qu'a vous bouffer. Elle décida de s'approcher un peu plus pour mieux comprendre ce que disait les voix.Si ce n'était qu'une série de grognement , l'idée serait clair. Elle s'avanca donc lentement , pas par pas , en essayant de faire le moin de bruit possible

dans l'obscurité , on n'entendait qu'un seul son : « hi-hou-hi-hou-hi-hou-hi-hou »

-**** de panier , on n'est jamais capable d'en pogner un qui grince pas

dit elle tout bas a elle même pour éviter de se faire repérer et belle continua sa marche. Elle était asser proche pour entendre une phrase. Elle était désormais certaine que c'étais des humain , mais la phrase qu'elle venait d'entendre ne la rassurait pas du tout

«Ils arrivent»


la suite ce passa tellement vite qu'elle n'eu a peine le temps de réagrir. Premierement , les paroles des gens d'a coté qui ne semblait qu'être qu'un murmure se transphomère plutôt en espece de brouhaha et tout était si soudain qu'on ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. Chose de certaine , il y avait de l'action dans le petit magasin d'a coté. Deuxiemement , Amélie se retourna pour observer les zombies qui arrivaient en force. Elle se place de coté , un peu plus dans l'obscurité pour ne pas être déouverte. Pendant que la plupart des zombies s'aprochaient plutôt de l'odeur aléchante que dégageaient les humains dans le magasin , beaucoup plus forte que la sienne a cause de leur nombre. Un zombie s'approchait plutôt d'elle. Sur le coup , Amélie pensa que le zombie avait peut-être voulu l'avoir elle et son bébé pour lui tout seul mais elle compris dans le futur qu'un zombie ne possedait même pas cette force de pensée.

Lorsque ce zombie sans pitier s'approcha d'elle , elle ne pensa qu'a se défendre et la situation se renversa. C'était maintenant elle qui avancait vers le zombie ! Batte en main , prete plus que jamais a attaquer , elle frappa le zombie de plusieurs coup malheureusement ,elle réalisa qu'elle aurait du attendre que le zombie arrive vers elle et rester dans lombre , maintenant , elle avait attirée l'attention des autres zombies.

Pendant que d'autres zombies s'approchaient d'elle et qu'elle tentait tant bien que mal de se défendre armée seulement de sa batte de baseball , elle entendit des coup de feu. 3 coup de feu qui tentait de viser le zombies et donc l'un avait réussit a ateindre sa cible qui changeait maintenat de direction. Elle avait des renforts!!! un lueur d'espoir éclaira son visage et elle eu alors l'impression de retrouver de l'énergie pour continuer. Les coup de feu qui suivirent par la suite était plus violent mais aussi beaucoup plus précis. Les zombies atteint tombait de plus en plus et leur nombre diminuait.

Bien que moins nombreux , ils étaient toujours après Amélie qui ne s'avait plus comment les repousser. Un violent coup de baton dans les côtes ne fesait que les éloignés avant qu'ils ne tente de se rapprocher a nouveau. Ils ne sentait pas la douleur ! Au moment ou elle commencait réellement a manquer de force dans les bras , elle entendit une voix qui semblait plus proche que toute les autres et qui avec un fort accent lui criait aplein poumon :

« LA TÊTE VISEZ LA TÊTE !!!!!!!!!!»


elle compris que ce message lui était destiner parcequ'elle frappait a bien des endroit mais elle ne frapait pas vraiment leurs tête. elle pris donc son courage a deux main ( ainsi que son baton ) et avec ce qui lui restait de force elle frappa en tentant de viser leur tête. Une après l'autre , les têtes de ces minables monstres ce frappaitent contre le baton d'Amélie et un après l'autre , les zombies tombaient , inerte.
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Olaf Larsen
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeSam 5 Juil 2008 - 0:17

Olaf avait réussi à atteindre la jeune fille qui s’évertuait à casser la gueule des zombies à coups de batte de baseball. Il avait toujours son Beretta en main, mais il n’osait sans servir de peur que son manque flagrant de précision ne la blesse. Un mort humain dans la journée lui suffisait amplement! Or, tandis que dans l’ombre, évitant les balles que John décochait, il observait la jeune femme affronter ces horribles morts-vivants, il remarqua qu’elle frappait n’importe où. Elle ne savait donc pas qu’il fallait réduire leur cerveau en bouillie! Aussitôt, se relevant à demi, il s’écria: « La tête, visez la tête! ».

La jeune femme obéit aussitôt à ce commandement, frappant les zombies à gauche et à droite avec une adresse impressionnante d’un corps si frêle. Les têtes éclatèrent comme des œufs sous les coups, et les zombies s’effondrèrent au sol. Comme certains d’entre eux n’avait que la tête fendue, et étaient donc toujours une menace bien qu’ils soient secoués, Olaf se chargea de les viser soigneusement au front de son Beretta et fit feu, éliminant ceux déjà au sol et qui bougeaient peu, limitant donc les balles perdues. Au bout du compte, le silence commença à revenir, et enfin, la vingtaine de zombies fut éliminée.

Une fois le nettoyage complété, Olaf se retourna vers la jeune femme. Il remarqua alors pour la première fois qu’elle portait sur son ventre un bébé, d’environ un an et demi. C’était donc une jeune mère qu’il avait sauvée! Mentalement, il remercia Dieu de lui avoir permis de se racheter de son accident mortel sur l’autoroute en sauvant deux vies. Il y avait donc une justice au ciel! Se tirant de ses pensées positives, le vieil homme tendit la main à celle qu’il avait sauvée.

« Bonjour, moi être Olaf Larsen. Vous êtes?
-Amélie Labelle, répondit la jeune femme en lui tendant la main. Et voici Émile, ajouta-t-elle en posant sa main avec amour sur la tête du bébé.
-Joli enfant, répondit Olaf, faisant rougir de fierté la jeune maman. Où être son père? »

À ces mots, une lueur passa dans les yeux d’Amélie, et Olaf su qu’il lui faisait sans doute ressasser de mauvais souvenirs. Elle se rembrunit, se refroidit, et dit simplement:
« Il n’a plus de père…sans doute. Peu importe. Y a-t-il beaucoup d’autres gens avec vous, Olaf? »

Ne se faisant pas prier, le Suédois prit délicatement la main d’Amélie et la conduisit dans le magasin de Fernand. John y était revenu, et discutait avec le propriétaire des lieux et Raphaël, tous deux armés de carabines. Valentine était dans son coin, se mêlant peu aux autres, sans doute par gêne. Dans un autre coin se trouvait Suzie et Hervé, qui fouillaient dans sa trousse médicale, voulant ranimer Elizabeth qui, tassée du chemin, était toujours étendue au sol, devant eux, inconsciente. Craignant qu’ils trouvent sa morphine, il s’élança aussitôt vers eux et arracha la trousse de leurs mains.
« Hey, lança Hervé, on essayait de trouver quelque chose pour la ranimer, là!
-I will did it myself », répondit Olaf, tranchant, avec un ton d’une froideur inaccoutumée. Puis, fouillant lui-même dans sa trousse, il en sortit un petit flacon de sel spécial, qui dégageait une forte odeur. Se penchant sur Elizabeth, il lui fit renifler son sel, la tirant de son inconscience. Doucement, la jeune femme fit un rictus étrange, puis se ranima, et ses yeux s’ouvrirent lentement.

« Où suis-je? demanda l’auteure à succès.
-Chez votre oncle Fernande, répondit Olaf. Vous avoir perdre conscience, mais je vous ai ranimé. Are you all right?
-Oui, répondit Lizzie en se redressant lentement, sa tête lui tournant. Merci.
-No problem, répondit Olaf. Et, la laissant aux bons soins de Suzie et Hervé, il rejoint Amélie. Raphaël l’avait pris sous son aile une fois les présentations faites, et il lui disait le nom de tout le monde. Zebrowski discutait avec Fernand de la pertinence de se barricader pour empêcher d’autres zombies de venir, se demandant si c’était une perte de temps dans le cas où ils fuyaient la ville. Olaf interrompit sur-le-champ la discussion. « Sorry, guys, but je voudrais savoir: y a-t-il d’autres balles pour Beretta ninety-two ici? J’ai plus de balles ».

Fernand pouvant avec l’arsenal de son magasin tenir une Troisième Guerre mondiale, il ne se fit pas prié et donna à Olaf les balles nécessaires pour remplir à nouveau le magasin de son pistolet et un chargeur de surplus. Puis, il fit de même avec John, qui avait vidé son Colt Python en sauvant Amélie. Il distribua également des carabines et des couteaux de chasse à tous ceux pouvant les tenir et leur montra rapidement comment s’en servir pour ceux qui l’ignoraient. La démonstration de groupe s’achevait qu’un nouveau grognement retentit. John alla aussitôt voir.
« Merde, pas encore! Il faut définitivement boucher cette foutue porte, Fern! », rugit le flic en accompagnant la fin de sa phrase d’une détonation sourde.

Un nouveau groupe de zombies arrivait. Mais combien y en avait-il dans cette ville? Tandis que John jouait du flingue, Fernand ordonna aussitôt aux autres de barricader l’entrée du magasin. Au diable les autres humains de la ville, s’il y en avait d’autres, ils devaient, eux, être en sûreté. Tandis que tous mettaient la main à la pâte à barricader la porte de devant, laissant toutefois des ouvertures pour le canon d’une arme, Fernand fonça avec toute la vitesse de sa chaise roulante à la porte arrière de sa boutique. Il devait voir s’il pouvait ménager une fuite au groupe au cas où les zombies pénétreraient dans son magasin. Il espérait toutefois de tout cœur ne pas en venir à cette extrémité…
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Suzie Baby
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MessageSujet: Re: LA GRANDE AVENTURE   LA GRANDE AVENTURE Icon_minitimeJeu 17 Juil 2008 - 15:51

Les zombies se rapprochaient. C’était pourtant un danger plus près qui préoccupait Baby. Elle était persuadée que la jeune dame inconsciente était éligible au concours « Miss Infectée 2008» de St-John’s.
Il fallait qu’elle fasse quelque chose, mais quoi? Bon, elle avait besoin d’Hervé avec elle, parce que c’est lui qui avait les bonnes idées d’habitude. Il serait facile de le convaincre de l’aider, il ne voudrait certainement pas que l’épisode sanglant du CinémaCinq se reproduise!

Elle pivota, le cherchant des yeux dans ce minuscule magasin, et le trouva. Il était occuper à fouiller derrière le comptoir, courbé en deux. Il cherchait fébrilement, tremblant légèrement. Peu importe ce qu’il cherchait, il était bien trop nerveux pour trouver quoi que ce soit.

Elle aurait voulu lui dire : « Vévé, cibole! C’est tu vraiment le temps de défaire les étalages? Vient-en donc icitte là, j’ai besoin de toi! »

Mais au lieu de ça, elle le pssta, sans succès. Elle s’approcha alors de lui et posa sa main sur son épaule. Hervé sursauta violement, se cognant la tête sous le comptoir et se retourna, paniqué. Une peur indescriptible s’était matérialisée sur son visage et, comme par réflexe de défense, il frappa du plat de ses mains les oreilles de Baby. Elle hurla de douleur et porta les mains à ses oreilles.
- Excuse moi! J’suis tellement… j’t’ai prise pour… j’ai pas pensé…
Il la pris dans ses bras et lui hem… tapota le toupet, ne sachant pas vraiment quoi faire pour la réconforter.

« Ok, tout le monde, faut aider Johnny! Toi, la blonde, là…Suzy, arrête de gueuler comme ça, et prend la trousse que le vieux scientifique a laissé à côté de toi. Regardes si y’a pas quelque chose dedans pour réveiller ma Lizzie, on va en avoir besoin, elle est pro avec les armes! Hervé, le Chinois, tassez-la du chemin, que je passe! Toi, le gars avec les jeans serrés, sais-tu te servir d’une arme? Y’a des carabines en masse en arrière du comptoir, va en chercher une au lieu de rester là à rien foutre! Let’s go, gang, traînez pas! »

Sur ces ordres clairs, Suzie essuya les larmes de ses yeux et son nez d’un même geste et plongea pour la trousse. Hervé s’approcha de la jeune femme inerte en faisant signe au chinois de venir. Ils la déplacèrent ensemble, et Hervé tourna ensuite son attentionsur Suzie Baby, qui fouillait la sacoche style "médecin" méticuleusement. Il chuchota entre ses dents :
- qu’est ce que tu fais, Babe ? L’homme de fer t’as dit de la réveiller, pas de virer le sac à l’envers !
- hey, les nerfs le pinch ! Donne lui une claque dans la face si t’as le goût qu’elle se réveille… pour te bouffer la main ! ...regarde ça, c’est bourré de drogues…
Hervé tomba mal à l’aise. Il émit un petit rire nerveux.
- De la drogue ? hèhèhè, voyons donc ! … quel genre de drogue ?
- Bin là ! de la drogue… droque. Je l’sais tu moi ?
Les deux amis s’échangèrent un regard entendu, puis d’un même geste plongèrent leurs mains dans la trousse aux trésors.
Mais, la menace repoussée, Olaf revint vers eux et leur enleva sa sacoche des mains.
« Hey, lança Hervé, on essayait de trouver quelque chose pour la ranimer, là!... »

***


Les zombies ont réussis à passer la barricade. Plus personne de vivant dans le magasin. Les étalages dévalisés, des boîtes, des papiers et toute sorte de chose jonchent le sol. A la lumière blanche des néons, la vitre brisée des vitrines fait penser à une myriade d’étoiles.
Des rayons de soleil entrent par la porte ouverte de l’arrière boutique. Une chaise roulante est postée là, seule, en bas des trois marches de béton. Elle ne porte personne et il n’y a personne près d’elle pour la pousser. Elle est simplement là, triste témoin de la dénature humaine.

Puis quelqu’un pose ses fesses sur le siège. Avec ses mains, il fait pivoter le fauteuil roulant. Avec sa bouche, il émet des sifflements. Suzie tend donc la main vers Hervé pour l’aider à se relever.
- Viens-t-en R2D2, y’ont trouvé un vaisseau pour qu’on décolle.
- Bin comique… mais t’as raison, on ferait mieux de les rejoindre, sinon on va rester pris icitte." Hervé époussette ses jeans d’élavé et recharge la carabine winchester que Fern lui a donnée. "Remarque que entre frencher un zombie assoiffé de sang pis rentrer à 10 dans un char avec un bébé qui braille, je choisis le monstre.
- 'fait que... tu viens avec nous autres?
- Bin oui..!
- En plus c’est pas un char dude, c’est un autobus jaune !
- Ah bin ! ça change tout !
Le jeune adulte se mit à courir vers le véhicule.
- Hey, même avec des nouveaux souliers je te dépasse à la course !
- C’est parce que je t’ai laissé de l’avance,
Arrivés à l’autobus, les deux amis passent devant Valentin, qui monte la garde à la porte
" tu veux-tu mes cartes?..."
et vont dirrectement s’installer du côté de l'allée. Le policier a déjà fait démarrer le moteur en jouant dans les fils sous le tableau de bord, et la nièce de Fern est déja assise bien confortablement derrière le volant. A la sortie du stationnement du centre d’achat, Suzie Baby se lève debout dans son banc et dit avec un petit sourir :
- Mesdames et messieurs, mon nom est Suzie Q. Flynn et je serai votre hôtesse pour tout le voyage… qui sera d’un durée indéterminée vers je sais pas où. Pour votre sécurité il est préférable de ne pas nourrir les zombies. bienvenue dans le « Survie-Express » et bonne escapade !
...
- Assis toé..!

Edit : je me suis corrigée et clarifiée. Ostie que j'vous aime.
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